C’était la première vague de chaleur de l’été, qui en comptera d’autres (oui, oui, ce compte-rendu est rédigé avec un poil de retard)

Samedi, Yann, Bruno et Nicolas choisissent d’éviter les fortes vagues de chaleur avec un départ de bonne heure, pour un circuit VTT de bonheur que Marti leur avait concocté : Montée à l’ombre, en pente douce dans les chênes. Quelques cailloux dans les descentes, on ne peut quand même pas tout avoir. Line et Jeannie avaient de leur côté, choisi en matière de rafraichissement, une opportune panne de réveil. On continue l’option frissons avec baignade dans la rivière en attendant d’être rejoints pour l’apéro par nos travailleurs du samedi, Sophie et Marti.

Dimanche, c’est les filles d’un côté et les garçons de l’autre. Les filles, routières, font la classique Bourdeaux, forêt de Saoû, pas de Lauzun (arrêt photo pour la vue sur les gorges et les champs de lavande), Soyans (arrêt café, croissant) et fermeture de la boucle avec un col de la Chaudière, au nom ô combien évocateur, et qui plus est, pique cuisses, mollets, fessiers, tout quoi. Les garçons, VTT-istes, se lancent dans un circuit Comps, Dieulefit, Vesc, Bourdeaux sur chemins boisés, parfois un peu à découverts, et de magnifiques balcons. Traversée de petits chênes, quelques lavandes et des vues imprenables. Chez les filles, comme chez les garçons, on frôle la surchauffe. Retour au bercail, repas à l’ombre, arrosé au Bordeaux de Yann et bonne sieste.
Yann et Bruno, travailleurs du lundi, nous quittent après le dîner.

Lundi, c’est route pour tout le monde dans les roues de Line qui nous emmène dans les Gorges de Trente-Pas, ah la fraicheur… on en oublierait presque de profiter du paysage à couper le souffle, arrêt à Montjoux pour le café (croissant et quiche pour les affamé.e.s), montée à Vesc et descente sur Bourdeaux. Au total 5 cols tout de même et même pas mal !

Yves, hôte des lieux nous quitte après le repas, qu’il avait préparé comme les précédents, avec Jason, jeune prince de passage. Rangement, petit ménage et retour dans la fournaise de nos villes.